BNJ TV - 8 décembre 2010 - par Mathieu Grégoire-Racicot |
Le Bel Hubert, avec sa poésie, c’est lui qui a vrai
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«Comme le Jura, l'artiste de Sonceboz cultive ses racines, son accent, sa ruralité, mais frappe à la porte de l'urbanité et fait passer son authenticité comme de la fausse naïveté.» Serge Jubin, «Le Temps», 1er mars 2002
«Il y a chez lui d'heureux rappels: on pense à Bourvil en gentil perdant. Mais aussi à Pierre Perret pour le ton quelquefois narquois. Et, enfin, ä Bobby Lapointe pour l'amour des jeux de mots.» Francis Chenot, «Une autre chanson» (cahiers belges de la chanson N° 87), février 2001
«... des chansons pleines d'un humour léger. Des textes qui font rire (...) de notre quotidien.» L'Est républicain, 13 novembre 1999
«Poète fleur des champs, mélancolique quand il gratte la guitare, Bel Hubert change de registre lors des enchaînements: le faux timide cède la place à un comique irrésistible. Se prendre au sérieux? Bel Hubert jamais!» La Gruyère, Bulle, 11/3/97
«Bel Hubert est un faux naïf de la lignée des Bourvil ou Paul Barrault. C'est-à-dire de ces rigolos qui font s'esclaffer au premier degré et qui, à y revenir, pincent le coeur et revitalisent les idées.» Chorus, Paris, 1/95
«"Dans les chansons tout a été dit, mais comme personne n'écoute ça vaut la peine de répéter" Le Bel Hubert vous assène la phrase sans verbiage et pourtant il évoque justement ce que personne n'a pensé à évoquer.» Quotidien jurassien, 10/9/94
«Bel Hubert est drôle, irrésistiblement drôle. Ses chansons enivrent, réjouissent et le spectateur savoure.» Le Bien Public, Dijon, 27/9/94
«... des chansons montagnardes où se hument de drôles de relents d'anarchie. Aplomb, rire, pincement au coeur.» Libération, 16/4/90
«Il y a une étonnante filiation entre ce Suisse qui se fait appeler Bel Hubert et le Bourvil des années 50.» Le Monde, 16/4/90
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